La bénédiction de ses fondations a eu lieu le 7 juin 1886. Elle a été ouverte au culte le 10 juin 1890.
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"BONUS" UN MYSTÈRE ÉCLAIRCI ! Voilà un court sujet qui va répondre à une question que se sont sans doute posés les cartophiles brivistes les plus attentifs aux détails des images. Nous en faisions partie. Sur bon nombre de cartes
postales consacrées à l'église Saint Sernin, une mystérieuse petite construction en
bois, ouvragée, apparait à hauteur du chevet, juste en face de l'entrée
de la sacristie. Il y a 5 de ces cartes en haut de cette page. A quoi servait-elle ?  Agrandissement d'une partie de carte postale du haut de cette page (Col. JPC) La construction de l'église Saint Sernin avait commencé en 1885. Il
faut rappeler que par manque de financement, son clocher
a été construit plusieurs années après le reste de l'église. La suite,
nous l'avons trouvée dans un vieux journal : %20-%20Copie482b.jpg?attredirects=0) (Doc. La Croix de la Corrèze n° 1976 du 9-8-1931 - AD19 cote 68Pr 28) PLUS ENCORE : LES FONDEURS DE CLOCHES DE TURENNE Jean-Baptiste Paintandre (Paintendre), dit le Dragon, était né le 17 février 1793 en Haute-Marne. C'est lui qui, le premier s'installa à La Croix de Bellonie, à Turenne, comme fondeur de cloches. Il est décédé à Turenne le 5 novembre 1865. Son fils Hippolyte Émile, né le 3 juin 1838 à Turenne, lui succéda dans le métier. C'est lui qui a fondu les cloches de Saint Sernin. Mais il ne verra pas leur installation : il est "décédé chez Monsieur le curé du Pescher le 20 janvier [1897] à trois heures du soir", sans doute occupé à réparer la cloche de l'église. Son acte de décès se trouve dans le registre d'état civil de la commune de Sérilhac (19). Le père puis le fils avaient fondu (ou refondu) les cloches des églises ou chapelles de Turenne (1834), Sarran (1847), Seilhac (1862), Le Glandier (1889), ... Hyppolyte avait eu trois filles, mais aucun garçon. Ainsi s'est éteinte cette courte dynastie des fondeurs de cloches de Turenne. Mais d'autres membres de la famille (Antoine, le frère de Jean-Baptiste, ses fils Claude Théodore et Sébastien Paul, et sans doute d'autres encore) ont exercé ce même art en Haute-Marne et dans la Marne (Vitry-le-François). La famille Paintandre était réputée et fournissait ou réparait des cloches dans la France entière. |
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1931 : DEUX NOUVELLES CLOCHES
POUR L’ÉGLISE SAINT-SERNIN
(extrait de l'hebdomadaire La République
n° 7153 du 26-07-1931 - AD19 cote
62Pr 39)